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suite de la ptite souris
16 juillet 2008

Une nouvelle hypothétiquement bonne

   Peut-être que ça s'arrange un peu avec J (soulignez bien le "un peu" quand même). A un bal rescent, je suis retournée le voir pour lui dire au revoir, lui et ses amis. Bon ses amis se sont partis ailleurs avant que j'arrive, mais ce n'étaient pas eux les plus importants. J'ai commencé au passage à lui parlé un peu, choses anodines pour ne pas plonger dans une discussion d'une heure. Et puis un sujet qui entraine un plus sérieux, alors je lui demande s'il veut me raccompagner un bout de chemin. A la sortie du bal on continue de parler, sans aucune ombre de froideur, aucune engueulade à l'horizon, pour une fois il a l'air d'humeur à parler des sujets sensibles. J'en profite un peu et le prends dans mes bras, il ne me repousse pas, c'est déjà ça, même s'il pose ses bras sur mes épaules, sans me serrer lui aussi. Et puis on continue de parler, sa main est presque fermée mais se rapproche de mon épaule, on parvient à parler de pourquoi nos relations en sont à ce point, il fini pas me prendre par les épaules. On parle de ses problèmes à lui, comment la mort de son grand-père il y a trois ans a influencé sa maladresse et sa distance envers moi. Amoureuse, je n'ai pas cessé de lui caresser un peu les hanches, le dos, et à ma grande surprise, j'en ais senti une petite timide de sa part. Mais il a fallu rentrer, évidement c'est à ce moment que je me rend compte qu'une de ses mains est posée sur ma hanche, pas eu le temps de profiter, d'enregistrer cette sensation. Peu importe je l'ai vu, c'est déjà pas mal. Ces images ajoutée à lorsqu'il me demandait si j'étais sur qu'il fallait que je parte m'ont fait revenir deux en arrière, lorsque je pensais que nous étions unis pour toujours, lorsque la magie semblait être vraie. Comme lorsque je croyais que nous nous aimions, nous nous sommes séparés en restant doigts joins jusqu'à ce que la distance ne nous l'accorde plus.

    Hélas, un beau moment d'une heure ne peut promettre de se reproduire, il est possible qu'il n'amène à rien, même pas à une reconstruction d'amitié. J'aurais vécu à nouveau un bon moment avec lui, mais je ne peux croire à le revivre.

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